L’homme du 21e siècle a perdu ses facultés d’observation, avant 1950 sauf si les carences protéiques et l’alcoolisme régnaient, les enfants étaient robustes, ils ignoraient quasiment les otites, les rhino-pharyngites, les bronchites même l’hiver et ceci MALGRÉ UNE ALIMENTATION TRÈS RÉDUITE EN FRUITS AQUEUX( cerises, les fraises, les pommes, les poires, les pêches, les prunes, les oranges, les ananas, les papayes, etc. etc.), parfois un fruit le dimanche était en hiver le seul apport ! Aujourd’hui, « gorgés » de fruits de vitamine C naturelle et artificielle, les enfants font l’hiver des infections O.R.L et RESPIRATOIRES NON-STOP. Regardons au restaurant, un couple arrive avec un enfant de 6-7 ans, on lit le menu, on passe la commande du repas et des boissons. Le garçon arrive avec les boissons, une bonne bouteille, un litre d’eau plate ou gazeuse et le jus d’orange pour l’enfant. L’enfant impatient commence par boire son jus d’orange et MOINS DE CINQ MINUTES APRÈS, l’enfant ÉTERNUE, TOUSSE, CRACHE. Si l’on observe la RÉPARTITION DES FRUITIERS sur la planète, on observe que la nature DÉVELOPPE d’autant plus d’arbres fruitiers que le CLIMAT est CHAUD et d’autant MOINS que le CLIMAT est FROID. Si l’on tient compte de l’instinct et des envies spontanées : on a envie d’un fruit lors d’un bel après-midi Africain, ce fruit qui nous RAFRAÎCHIT et nous donne la SENSATION DE MIEUX SUPPORTER LA CHALEUR. Par contre, si le climat est froid, on est en Alaska ou en Sibérie, il fait –30°, le fruit ne fait pas envie, on grelotte et le nez coule ENCORE PLUS après son ingestion : d’instinct la pomme, l’orange ou autre fruit aqueux ne sont pas désirés, au contraire. Il faut le conditionnement médical et médiatique, on ingère le fruit PAR RAISON…. La nature RARÉFIE les fruits en HIVER, elle les donne à PROFUSION en ÉTÉ. Les nutritionnistes, dans leurs observations étroites, in-vitro sur des cultures cellulaires, l’œil collé au microscope DÉCONNECTÉ de l’homme DANS SON MILIEU DE VIE, veulent nous faire croire que c’est en climat froid et en saison froide que les fruits aqueux sont les plus indispensables. Or, mes OBSERVATIONS PRATIQUES SUR LE VIVANT répétées de MILLIERS DE FOIS prouvent que les ASSERTIONS DES NUTRITIONNISTES SONT ARCHI-FAUSSES. En effet, en CLIMAT FROID ou en SAISON FROIDE, l’organisme COMBURE TRÈS MAL les acides citriques, tartrique, malique des fruits aqueux. Si des fruits SONT CONSOMMÉS en quantités, l’organisme va : 1 – utiliser ses bases minérales pour neutraliser les acides non oxydés, (voir plus haut). Les conséquences seront la déminéralisation, la fatigue, la frilosité. 2– Il va éliminer les acides non oxydés aux muqueuses respiratoires et ORL. Les secrétions muqueuses très augmentées seront le milieu de culture et prolifération idéal pour les bactéries et les virus.
SOURCES :
http://www.alternativesante.com/gazette/sections/section.asp?NoSection=17&NoArticle=408